Luz y Sombra

La douleur

Depuis dimanche je suis de retour à Paris. À Pantin. Chez nous. Enfin chez Papillon. Que j’aime évidement toujours.
Une soirée slam dimanche à Belleville. Hier, une après-midi avec ma tante et ma soeur. Ce soir un dîner avec Célia pour discuter de la revue de poésie. Demain mon séminaire d’entreprise puis un dîner avec Aymée. Parmi toutes ces activités, mes test IST au laboratoire. Tout va bien. Je ne suis pas séropositive comme je le craignais. Et surtout, ma pose de stérilet aujourd’hui chez ma sage-femme. J’étais tellement contente de cette pose : une contraception non hormonale et sans charge mentale. Une contraception qui se fait oublier. Et bien j’en reviens : impossible de me poser mon stérilet. Pourtant mes règles ont eu la gentillesse de se pointer la veille, avec une semaine d’avance, pour me faciliter la pose. Mais non. La douleur s’est avéré intenable, inadmissible. Elle a dû tout arrêter alors qu’elle était en train de me le propulser.
Je suis dégoutée. Ecoeurée par mon propre corps qui n’a pas réussi à gérer cette douleur. Je suis bonne pour la pilule, avec tous les risques que ça implique. Sans compter la charge mentale...
On ne peut pas baiser tranquille bordel !